Regards

Je pense à toi visiteur ! Quel pas t’a donc guidé à ma porte ? Serait-ce le pas tranquille du chineur indulgent ? Viens donc mon frère ! Je te propose mes rêves et mes espoirs. Et si tu veux bien, juste là, mes joies et mes peines. Et encore là, regarde, mes rires et mes pleurs. Et au fond, à l’abri des méchantes gens, mes peurs et mes faiblesses. Juste goûte et apprécie. Et trinquons, frère, là, à l’ombre de la passion.

Nom :
Lieu : Rabat, Morocco

04 octobre 2006

3- Votre appréciation

Ca commence plutôt bien. Mais, il ne faut surtout pas relire au dessus. J’ai déjà repéré deux, trois mots que je devrais changer. Si je m’y mets maintenant, s’en sera fait de cette mise en route de ma machine de guerre.

D’ailleurs, ai-je besoin de votre intérêt pour écrire ce que j’ai à dire ? Que vaudraient mes mots, sensés être libérateurs, si d’emblée, je les enchaînais à votre appréciation ? S’il s’agit de déboucler la boucle, je préférerais que vous soyez le maillon qui saute.

Sans votre avis, les choses seraient beaucoup plus simples. Le monde tournerait autrement. Imaginez un instant un monde où chaque acte, serait émancipé de cette obligation d’appréciation positive que nous avons inventée, pour être simplement un acte. Libre, fier, sauvage. Ce serait la révolution. Non pas celle d’un peuple, mais bien celle de toute l’humanité, croupissant sous la dictature du paraître.

A suivre...

1 Comments:

Blogger Cacaprout said...

La, je suis tout à fait d'accord...
J'ajouterais même que ce n'est pas de "l'appréciation positive" qu'il s'agit, mais de cette dualité: bien & mal...
Cette dualité, qu'on arrange à la sauce de notre vécu et qui nous enchaîne...

10 octobre, 2006 11:59  

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