Regards

Je pense à toi visiteur ! Quel pas t’a donc guidé à ma porte ? Serait-ce le pas tranquille du chineur indulgent ? Viens donc mon frère ! Je te propose mes rêves et mes espoirs. Et si tu veux bien, juste là, mes joies et mes peines. Et encore là, regarde, mes rires et mes pleurs. Et au fond, à l’abri des méchantes gens, mes peurs et mes faiblesses. Juste goûte et apprécie. Et trinquons, frère, là, à l’ombre de la passion.

Nom :
Lieu : Rabat, Morocco

10 octobre 2006

Larmes

Tu es partie et avec toi mon âme,
N’ayant plus rien, je te fais don de mes larmes.
Elles sont mon bien le plus cher !
Mon trésor impérissable !
Mon extrême soupir !

Ce ne sont point de vains pleurs ;
Mais la sueur de mon cœur ;
Qui, pour toi, n’a cessé de battre !

Pour toi seule, elles ont coulé !
Pour toi seule, je n’ai su les refouler !

Hélas, dans mon regard, elles n’ont pu effacer le souvenir de ton départ !
Impuissantes, sur mes joues elles se sont retirées ;
Le vent les a cueillies, et, jaloux, au loin les a emportées !

Ultime preuve de mon infini amour ;
Jamais, elles ne te seront dérobées !

Mêlées à la rosée du matin ;
Perles de passion ;
Eternel hommage ;
Chaque jour, sur les roses de ton jardin, elles brilleront !

5 Comments:

Anonymous Anonyme said...

J'ai lu a un a un tes posts... D'abord bienvenu dans la blogoma... Ca fait plaisir d'avoir parmis nous une aussi belle plume que la tienne...

Respect!

10 octobre, 2006 16:43  
Anonymous Anonyme said...

le debut me rappel un dialogue ancien de plesieurs ciecles , celui que le jeune sidrhata , futur buda , tena avec un marchand ,_ que possede tu _ je possede que ma partience et mon savoire

breff dans ton cas tes larmes,
et le reste me rammene vers une fable que je deteste le plus au monde , celle de cendrillon.
saltut.

11 octobre, 2006 01:08  
Anonymous Anonyme said...

le debut me rappel un dialogue anvien de plusiers siécles, celui que le jeune sidrhata , futur buda, tenait avec un marchand _que possede tu _je possede que ma patience et mon savoire



breff dans ton cas tes larmes,
et le reste me ramene vers une fable que je deteste le plus au monde , celle de cendrillon.
saltut.

11 octobre, 2006 01:21  
Anonymous Anonyme said...

Palabres exquises…
Bienvenu à la blogosphère

11 octobre, 2006 20:17  
Anonymous Anonyme said...

Mon premier com dans ce chez toi :)
pour un post qui m'a particulièrement touché...
A une lonnngue continuation pour tes blogs :)

18 novembre, 2006 16:21  

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