Larmes
Tu es partie et avec toi mon âme,
N’ayant plus rien, je te fais don de mes larmes.
Elles sont mon bien le plus cher !
Mon trésor impérissable !
Mon extrême soupir !
Ce ne sont point de vains pleurs ;
Mais la sueur de mon cœur ;
Qui, pour toi, n’a cessé de battre !
Pour toi seule, elles ont coulé !
Pour toi seule, je n’ai su les refouler !
Hélas, dans mon regard, elles n’ont pu effacer le souvenir de ton départ !
Impuissantes, sur mes joues elles se sont retirées ;
Le vent les a cueillies, et, jaloux, au loin les a emportées !
Ultime preuve de mon infini amour ;
Jamais, elles ne te seront dérobées !
Mêlées à la rosée du matin ;
Perles de passion ;
Eternel hommage ;
Chaque jour, sur les roses de ton jardin, elles brilleront !
N’ayant plus rien, je te fais don de mes larmes.
Elles sont mon bien le plus cher !
Mon trésor impérissable !
Mon extrême soupir !
Ce ne sont point de vains pleurs ;
Mais la sueur de mon cœur ;
Qui, pour toi, n’a cessé de battre !
Pour toi seule, elles ont coulé !
Pour toi seule, je n’ai su les refouler !
Hélas, dans mon regard, elles n’ont pu effacer le souvenir de ton départ !
Impuissantes, sur mes joues elles se sont retirées ;
Le vent les a cueillies, et, jaloux, au loin les a emportées !
Ultime preuve de mon infini amour ;
Jamais, elles ne te seront dérobées !
Mêlées à la rosée du matin ;
Perles de passion ;
Eternel hommage ;
Chaque jour, sur les roses de ton jardin, elles brilleront !
5 Comments:
J'ai lu a un a un tes posts... D'abord bienvenu dans la blogoma... Ca fait plaisir d'avoir parmis nous une aussi belle plume que la tienne...
Respect!
le debut me rappel un dialogue ancien de plesieurs ciecles , celui que le jeune sidrhata , futur buda , tena avec un marchand ,_ que possede tu _ je possede que ma partience et mon savoire
breff dans ton cas tes larmes,
et le reste me rammene vers une fable que je deteste le plus au monde , celle de cendrillon.
saltut.
le debut me rappel un dialogue anvien de plusiers siécles, celui que le jeune sidrhata , futur buda, tenait avec un marchand _que possede tu _je possede que ma patience et mon savoire
breff dans ton cas tes larmes,
et le reste me ramene vers une fable que je deteste le plus au monde , celle de cendrillon.
saltut.
Palabres exquises…
Bienvenu à la blogosphère
Mon premier com dans ce chez toi :)
pour un post qui m'a particulièrement touché...
A une lonnngue continuation pour tes blogs :)
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